Le Cloud Computing

Le Cloud Computing


Le cloud computing ou nuage informatique est une infrastructure dans laquelle la puissance de calcul et le stockage sont gérés par des serveurs distants auxquels les usagers se connectent via une liaison Internet sécurisée. L'ordinateur de bureau ou portable, le téléphone mobile, la tablette tactile et autres objets connectés deviennent des points d'accès pour exécuter des applications ou consulter des données qui sont hébergées sur les serveurs. En clair, vos données, au lieu d'être stockées sur vos disques durs ou mémoires, sont disponibles sur des serveurs distants et accessibles par internet. Les différents intervenants disposent à cet effet de gigantesques champs de serveurs de stockages appelés Datacenter.

Le cloud se caractérise également par sa souplesse qui permet aux fournisseurs d'adapter automatiquement la capacité de stockage et la puissance de calcul aux besoins des utilisateurs. Pour le grand public, le cloud computing se matérialise notamment par les services de stockage et de partage de données numériques type Box, Dropbox, Microsoft OneDrive ou Apple iCloud sur lesquels les utilisateurs peuvent stocker des contenus personnels (photos, vidéos, musique, documents...) et y accéder n'importe où dans le monde depuis n'importe quel terminal connecté.

Un peu d’histoire : on faisait déjà du cloud en 1950

L’histoire du « Cloud Computing » a commencé dès les années 1950. Avec l’évolution d’Internet, ses possibilités se sont largement étendues. Dans les années 1990, les maîtres faisaient des cours d’informatique sur des ordinateurs appelés MO5 (Thomson). A cette époque, ils chargeaient des applications sur un ordinateur central, puis permettaient aux élèves d’y accéder avec leur terminaux. C’était du cloud computing… En bref, le concept n’est pas nouveau, ce qui l’est devenu, c’est la capacité des réseaux et des machines à rendre viable l’utilisation du cloud computing à grande échelle via Internet.

 

Quels sont les modèles de services de cloud computing ?

Software-as-a-Service (SaaS) : plutôt que de faire installer une application aux utilisateurs sur leurs appareils, les applications SaaS sont hébergées sur des serveurs cloud et les utilisateurs y accèdent via Internet. Les services SaaS s’apparentent à la location d’une habitation : le propriétaire entretient l’habitation, tandis que le locataire l'utilise comme si elle lui appartenait. Parmi les exemples d’applications SaaS, on citera MailChimp, Slack et Skyvue qui l’utilise pour ses solutions Individual, Expound et Reckon.

Platform-as-a-Service (PaaS) : dans ce modèle, les entreprises ne paient pas pour les applications hébergées. Elles paient pour les éléments dont elles ont besoin pour créer leurs propres applications. Les fournisseurs de PaaS proposent tout ce qui est nécessaire pour construire une application, y compris les outils de développement, l’infrastructure et les systèmes d’exploitation, sur Internet. Le PaaS peuvent être comparé à la location des outils et des équipements pour construire une maison, au lieu d'en louer une. Parmi les exemples de services PaaS, on citera notamment Heroku et Microsoft Azure.

Infrastructure-as-a-Service (IaaS) : dans ce modèle, une entreprise loue les serveurs et l'espace de stockage dont elle a besoin à un fournisseur de cloud. Elle peut alors utiliser cette infrastructure cloud pour développer ses propres applications. L'approche IaaS s'apparente à la location d'un terrain par une entreprise : cette dernière peut y construire tout ce qu'elle souhaite, mais elle doit fournir ses propres équipements et matériaux de construction. Parmi les fournisseurs de services IaaS, on citera DigitalOcean, Google Compute Engine et OpenStack.

Auparavant, le SaaS, le PaaS et l'IaaS étaient les trois principaux modèles de cloud computing, et pratiquement tous les services cloud entraient dans l'une de ces catégories. Toutefois, ces dernières années ont émerger un quatrième modèle :

Function-as-a-Service (FAAS) : le modèle FaaS (également connu sous le nom de serverless computing pour informatique sans serveur) divise les applications cloud en composants plus petits, uniquement exécutés en cas de besoin. Imaginez qu'il soit possible de louer une maison une pièce à la fois. Le locataire ne louerait, par exemple, que la salle à manger au moment des repas, la chambre quand il va dormir et le salon quand il regarde la télévision, sans avoir à régler le loyer correspondant lorsqu'il n'utilise pas ces pièces.

À l'instar de tous les autres modèles d'informatique cloud, les applications FaaS ou serverless s'exécutent néanmoins toujours sur des serveurs. Toutefois, on les définit comme « serverless », car elles ne s'exécutent pas sur des machines dédiées et que les entreprises qui développent ces applications n'ont aucun serveur à gérer. Quantum, notre produit d’estimation des matières premières se sert de ce modèle.

Par ailleurs, les fonctions serverless peuvent évoluer ou être dupliquées lorsqu'un nombre plus élevé d'utilisateurs se servent de l'application.


Quels sont les différents types de cloud ?

Sur le marché, il existe différents types de clouds qui répondent à un besoin spécifique. En voici quelques-uns

Cloud privé : le terme cloud privé désigne un serveur, un datacenter ou un réseau distribué, intégralement dédié à une organisation. Comme son nom l’indique, il reste la propriété d’une entité. Le plus souvent, c’est le type de cloud adapté aux entreprises qui désirent avoir l’entière maîtrise de leurs données, logiciels et applications qui sont stockés sur leurs propres serveurs. Ces serveurs peuvent être logés dans des locaux autres que ceux qui abritent l’entreprise. Toutefois, les serveurs peuvent aussi être sous la gestion d’un prestataire extérieur. Ce type de cloud permet au client d’y avoir un accès direct. La mise en place de ce type de serveur demande d’importants moyens financiers et logistiques. Ce cloud performant et sécurisé reste totalement sous le contrôle de l’utilisateur.

Cloud public : le terme cloud public désigne un service géré par un fournisseur externe et pouvant inclure des serveurs situés dans un ou plusieurs datacenters. Contrairement aux clouds privés, les clouds publics sont partagés par de nombreuses organisations. L'utilisation de machines virtuelles permet de partager des serveurs indépendants entre différentes entreprises. On parle alors d'« architecture mutualisée », car plusieurs locataires louent de l'espace serveur au sein du même serveur. Autrement dit c’est une infrastructure qui permet de stocker en ligne vos données sur des serveurs qui restent eux aussi accessibles à d’autres utilisateurs. Ce nombre d’utilisateurs est limité. La tarification sur un cloud public varie en fonction du volume de données que vous enregistrez sur le serveur. Vous payez autant que vous stockez ou exploitez des données. Ce type de cloud offre à ses utilisateurs un nombre quasi infini de données.

Cloud hybride : les déploiements cloud hybrides associent des clouds publics et privés. Ils peuvent même inclure des serveurs traditionnels sur site. Une organisation peut utiliser son cloud privé pour certains services et son cloud public pour d'autres, à moins qu'elle ne préfère conserver son cloud public comme solution de secours en cas de défaillance de son cloud privé. Il reste l’apanage de grandes entreprises qui manifestent des besoins spécifiques. En effet, dans la gestion de leurs différentes opérations, elles disposent de deux types de données (les données confidentielles et celles non confidentielles). Les données sensibles restent stockées sur le cloud privé et les autres données demeurent sur le cloud public où tout le monde peut y avoir accès.

Multicloud : l'approche multicloud constitue un type de déploiement cloud impliquant l'utilisation de plusieurs clouds publics. En d'autres termes, une entreprise qui s'appuie sur un déploiement multicloud loue des serveurs et des services virtuels auprès de plusieurs fournisseurs externes (pour reprendre l'analogie utilisée ci-dessus, l'opération revient à louer plusieurs terrains adjacents auprès de différents propriétaires). Les déploiements multicloud peuvent également concerner des clouds hybrides, et vice-versa.


Principe de fonctionnement du cloud computing ?

Vous souscrivez une formule et signez un contrat d'externalisation de votre architecture informatique avec un fournisseur de solutions de cloud computing (abonnement mensuel ou annuel). Toutes les données de votre entreprise sont envoyées vers des serveurs distants, dans un centre de stockage. Pour y accéder, vous vous connectez à Internet depuis votre PC ou votre smartphone (authentification requise).

Le fonctionnement et les prestations fournies varient selon le type de service souscrit (IaaS, PaaS, SaaS). Les machines virtuelles du fournisseur opèrent dans des clusters. Plusieurs dispositifs de sécurité (notamment des mécanismes de redondance) permettent d'éviter une interruption du service pouvant engendrer une perte des données.

La délégation de toutes ces tâches nécessitant des connaissances en informatique à un professionnel du cloud offre la possibilité aux entreprises de se consacrer pleinement à leur cœur de métier tout en garantissant une protection maximale de leurs données et applications (y compris la messagerie).

En effet, ce serveur distant est un grand ordinateur avec de hautes performances (plusieurs processeurs et beaucoup de mémoire vive), sécurisé, qui fonctionne avec un système d’exploitation puissant, des applications et logiciels qui sont régulièrement mis à jour.

Il fait rarement l’objet d’une attaque de virus informatique. Il offre différents services à tous les clients qui s’y connectent par Internet ou des réseaux de connexion privée. Dans sa configuration, le prestataire offre une option d’automatisation qui permet au client de gérer le serveur et le réseau en fonction de ses besoins. Les utilisateurs de ce service ne sont donc pas obligés de suivre une directive proposée par le cloud. Ils restent indépendants et travaillent comme si les données étaient stockées sur leur propre disque dur. L’utilisateur du cloud n’a pas connaissance de la situation géographique des datacenters où sont stockées ses données.

 

A quoi sert le cloud computing ?

Le cloud computing offre plusieurs avantages considérables aux entreprises, en particulier le mode SaaS. Il leur permet de délocaliser leur matériel, leurs données et leurs applications sur des serveurs dans des espaces spécifiques (les centres de données). En confiant ces tâches à un prestataire de confiance, ils gagnent de l'espace dans leurs locaux (plus besoin de stocker des serveurs) et du temps (l'architecture et le stockage des données sont pris en charge par le fournisseur).

Autre caractéristique fondamentale qui donne à l'informatique dans les nuages tout son sens : les données conservées sont accessibles depuis n'importe où par les personnes qui sont autorisées à y accéder. Une aubaine dans le cadre du travail collaboratif.

Si vos collaborateurs sont basés à Madrid, Pékin, New York et Kinshasa, ils pourront tous accéder au portail de votre entreprise depuis leur smartphone ou leur ordinateur, insérer leur mot de passe et consulter le compte-rendu de votre dernière réunion, partager leurs avis et laisser des commentaires en temps réel. Cette belle prouesse de l'informatique dans les nuages porte un nom : la synchronisation des postes de travail.

Les avantages et les inconvénients du cloud

L’utilisation du cloud présente aussi bien des avantages que des inconvénients.
Les avantages du cloud computing sont :

L’accessibilité

Il vous offre grâce à un support et une connexion Internet une totale accessibilité à vos applications et services de stockage. Il suffit d’une connexion internet pour accéder à ses données ou logiciels, le cloud est ainsi particulièrement adapté au milieu professionnel et au télétravail.

La flexibilité

Le cloud s’adapte à vos besoins au fur et à mesure qu’ils augmentent. Vous commandez l’espace de stockage ou la puissance de calcul dont vous avez besoin. Une fois que vous avez atteint votre quota d’espace disque, il est très simple de passer à la formule supérieure pour avoir plus d’espace de stockage. Vous payez uniquement ce dont vous avez besoin et pouvez facilement ajuster votre abonnement selon vos besoins.

L’absence de financement initial

Vous n’avez pas besoin de faire un lourd investissement, qu’il soit matériel ou applicatif, pour mettre en place ce type de solution de stockage. Ceci reste la responsabilité du prestataire. Vous ne payez qu’un abonnement mensuel. C’est une manière utile de mieux gérer votre budget, car vous ne payez que ce que vous consommez pendant cette période.

Les inconvénients du cloud computing sont :

La fiabilité et la localisation du cloud

Lorsque le cloud n’est pas hébergé dans les meilleures conditions, la sécurité de vos données n’est pas garantie. Il vous faudra donc bien vous renseigner sur les mesures de chiffrement de vos données ainsi que sur les mesures de sécurité garanties par votre prestataire cloud.

La nécessité d’avoir une connexion internet

Pour accéder au cloud, vous devez disposer d’une connexion internet pour accéder à vos données et applications. Si ce n’est pas le cas, vous ne serez pas en mesure d’accéder à vos données.

Chez SkyVue, le cloud Computing est au cœur de toute notre activité de documentation digitale. Du site web en passant par nos solutions et produits, le cloud computing intervient à tous les niveaux afin d’analyser vos actifs et les faire venir à vous où que vous soyez.

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FOCUS SUR LES METIERS D'AVENIR : Devellopeur Full Stack.
FOCUS SUR LES METIERS D'AVENIR : Devellopeur Full Stack.

Développeur FULL STACK.   Développeur full stack qu’est-ce que c’est ? Le développeur full stack est un développeur touche-à-tout et complet, qui travaille à la fois côté Backend et Frontend. Le front-end est responsable de l'aspect visuel du site Web, tandis que le back-end est responsable de la logique et de l'infrastructure du site. Il connaît toute la chaîne de développement d’un logiciel ou d’un site web et est à l’aise avec plusieurs langages et technologies.Par définition, être « full stack » signifie travailler sur « toute la stack ». Par extension, on peut dire que le développeur fullstack réalise ce que plusieurs développeurs front-end et back-end font en équipe.Ses connaissances vis-à-vis de l’ensemble des couches de la stack technique, de la pile de technologie d’un projet, lui permettent de créer un site ou une app de A à Z.   Quelles sont les missions d'un develeppeur Full Stack : Un Développeur Full Stack doit d’être généraliste. Il peut être amené à travailler sur chaque étape de création d’un site ou d’une application : du développement à la production. Le front-end fait référence à tout ce que peut voir un utilisateur lors de l’utilisation d’un site et peut être développé via des frameworks tels que Angular ou Vue.js. Un Développeur Full Stack est aussi capable de développer le back-end d’un site, soit la partie “cachée”. Elle n’est pas visible du grand public et regroupe, entre autres, les bases de données ou les calls API (Application Programming Interface).Un Développeur Full Stack est donc compétent dans tous les domaines de développement et participe à la création et à la maintenance d’un site ou une application. Le développeur full-stack a pour principale mission la programmation d’une application ou d’un site : il est à même de le concevoir de A à Z (création, développement, codage, etc.). Il a des compétences dans tous les domaines : back-end, front-end, UX/UI, architecture… Ce profil est donc très prisé des start-ups, où le nombre d’employés est limité et où un profil polyvalent est particulièrement apprécié. Ce profil généraliste permet donc d’intervenir sur des missions diversifiées et à différents niveaux dans la conception du site, soit en globalité, soit sur certains aspects précis, tout dépend des besoins de l’entreprise. Il peut jongler entre plusieurs missions faisant intervenir différents outils de programmation au cours d’une même journée. Le développeur full-stack est passionné de code, il a des compétences informatiques poussées ainsi qu’une parfaite maîtrise des langages de programmation et des bases de données. Il maitrise également les notions d’API pour dialoguer avec des sites partenaires. Un dev full stack est vraiment multifonction et sa grande palette de compétences lui permet de s’adapter et d’effectuer toutes les tâches qu’on lui soumettra. C’est pourquoi il peut aussi bien travailler sur de l'intégration de contenu que sur des problématiques backend poussées.Malgré la diversité des missions sur lesquelles il intervient d’un projet à un autre, le dev full-stack doit être capable de s’adapter et de travailler en relative autonomie.A noter : le rôle d’un développeur fullstack et les missions qui lui sont confiées sont souvent différentes d’un poste à l’autre. L’intitulé de poste « développeur fullstack » regroupe de nombreuses compétences potentielles, plus ou moins essentielles et mises en pratique selon les postes.   Quelles sont les compétences requises ? Comme pour tout autre poste de développeur, être autodidacte et savoir se former est un véritable plus pour renforcer ses compétences et rester dans l’air du temps. Pour ce faire, le développeur Full Stack se forme continuellement sur de nouvelles technologies ou langages grâce à des documentations officielles ou des sites Internet avec des tutoriels, articles ou forums tels que Stack Overflow. En raison des nombreuses composantes interdépendantes d’un projet digital, être full stack demande une très bonne organisation, un pragmatisme et une rigueur à toute épreuve.Les technologies et langages principaux à maîtriser sont: ·        JavaScript et un (ou plusieurs) frameworks Js : Angular, Ext.js, Ember.js, Vue.js, React.js… ·        Le pack web classique (HTML, CSS)​ ·        Un ou plusieurs langages de développement back-end : Java, Python, PHP, Go, C#, Ruby…) ·        ​Certains frameworks associés aux langages de développement tels que Symfony ou Laravel pour PHP, Spring ou Hibernate pour Java, Django ou Flask pour Python etc. ·        ​Un système de gestion des bases de données : MySQL, Oracle, PostgreSQL, MongoDB… ·        ​Un outil de gestion de projet en équipe comme github ou gitlab Afin de répondre au mieux aux besoins du client ou de l'employeur, une veille technologique permanente est primordiale : dernières évolutions, changements, nouveaux outils.   Compétences techniques Maîtrise de plusieurs langages: HTML, CSS, JavaScript (front-end) et Ruby, PHP, Python (back-end). Connaissance des technologies pour applications mobiles: IOS et Android. Capacité à appréhender les problématiques liées aux bases de données (SQL). Bonnes connaissances en UX afin de rendre les interfaces web accessibles. Compétences relationnelles Bonne compréhension de l’écosystème d’un projet web et de toutes ses parties prenantes afin de collaborer avec elles. Une excellente organisation pour assurer aussi bien le développement du côté serveur que du côté client. Un bon sens de l’écoute car la collaboration est la clef de son succès.   Quels sont les principaux collaborateurs du Développeur Full Stack ? Bien que très autonome, un dev full stack doit savoir travailler en équipe. Souvent amené à travailler avec d’autres développeurs (Full stack, front-end ou back-end) et il doit donc savoir travailler en équipe. Il collabore également avec des intégrateurs en charge de la partie graphique et design d’un site ou d’une application. Dans des organisations plus petites un Full Stack est souvent encadré directement par un CTO. Dans des entreprises plus grandes, et selon la méthodologie de gestion de projet, un Développeur Full Stack peut être supervisé par un Scrum Master ou un Product/Project Manager. En fonction de la taille de l’entreprise et de l’équipe, il collabore généralement avec les interlocuteurs tels que: Lead developer, développeur frontend ou développeur back-end, Chef de projet ou Product Owner, Webdesigner, CTO, Rédacteur ou intégrateur web, Référenceur SEO, DevOps.   Quelles études ou formations pour devenir Développeur Full Stack ? Comme pour la majorité des métiers du développement informatique, plusieurs formations sont envisageables : formations en ligne, formations courtes en présentiel (1, 3, 6 mois), Bac+2 ou +3 (BTS, DUT, Licence) ou Bac+5 (écoles d’ingénieurs ou masters spécialisés).Nombreux sont les profils autodidactes sur le marché car il est possible d’apprendre et de monter en compétences grâce aux formations en ligne de plus en plus répandues : Udemy ou OpenClassroom par exemple, voire des écoles en ligne telles que Oclock.io qui proposent notamment une formation en développement Full stack JS.Des centres de formation comme La Capsule, Ironhack et d’autres structures à travers la France enseignent aussi des bases en développement web en quelques semaines.S’agissant d’un métier pointu et d’expérience, c’est le niveau et la palette de compétences du dev full stack qui lui donnera des possibilités d’emploi.A noter : les profils Bac +2 à +5 sont les plus recherchés sur le marché pour leurs connaissances théoriques complètes, mais c’est avant tout l’expérience et les compétences qui permettront à un développeur fullstack de trouver un emploi. D’autant plus que les postes sont nombreux et les bons profils plutôt rares. Si il n’existe pas de parcours type, et si les profils autodidactes sont nombreux à ce poste, une formation de l’enseignement supérieur reste un plus. Afin d’acquérir de bonnes bases, des formations Bac +2 (BTS/DUT) ou Bac +3 (Licence) en informatique seront de bons points de départ. Pour un Développeur full stack, le plus important est de maîtriser des langages et frameworks variés afin d’être polyvalent et performant sur les différentes étapes de production. Le développeur internet peut être titulaire d’un bac +2 (BTS, DUT…) ou +3 (licence professionnelle), mais également avoir suivi un cursus dans le domaine de l’informatique et des télécoms en écoles d’ingénieurs ou avoir poursuivi en masters informatique (spécialisation ingénierie des médias numériques, management et système d’information…). Avant d’obtenir ces diplômes, il est possible de commencer à se préparer avec un baccalauréat scientifique ou les enseignements de spécialité « Mathématique » et « Numérique et sciences informatiques ».   Les formations bac+2 Les formations pour devenir « dev » sont multiples. Certains choisiront de faire un: BTS Informatique et réseaux pour l’industrie et les services techniques BTS Services informatiques aux organisations (SIO) parcours solutions logicielles et applications métiers BTS SIO parcours solutions d’infrastructures système et réseau DUT Informatique Les formations bac+3 Les écoles d’ingénieurs offrent également des parcours intéressants. À l’université, une licence pro Informatique, développeur web pour l’entreprise, développeur informatique multisupport ou ingénierie logicielle pour l’internet est aussi approprié. Voici d’autres exemples de formations qui mènent au métier du développement web: Bachelor Développeur Front-End Bachelor Ingénierie du web Bachelor Concepteur d’applications mobile Bachelor Chef de projet Logiciel et Réseaux Licence pro Métiers de l’Internet Licence générale d’informatique Les formations bac+5 Après quelque temps, le développeur peut se spécialiser dans divers domaines : e-marketing, édition en ligne, banque, jeux vidéo, assurance. Ceux à la recherche de responsabilités deviendront chefs de projet technique ou pourront encadrer une équipe de développeurs. Il existe ainsi des cursus tels qu’un: Master Expert of IT Master Chef de projet web Master Développement du SI Master Informatique Master Programme ingénierie informatique MBA Développeur digital Mastère spécialisé informatique MSc informatique   Quelles sont les évolutions professionnelles et perspectives de carrière d'un Développeur Full Stack? Les possibilités d’évolution en tant que Développeur Full Stack sont nombreuses. La plupart de ces promotions mèneront vers des postes de pilotage ou de manager tels que Lead Developpeur, Product Manager, Head of Digital, Architecte Technique ou bien même CTO. Ses nombreuses compétences techniques et son ouverture sur la partie business et marketing lui permettent d’exercer des postes variés.   Quels sont les principaux secteurs d'activités et employeurs d'un Développeur Full Stack? Les développeurs full stack sont très recherchés, principalement dans les startups où la polyvalence est appréciée. Les meilleurs profils, expérimentés, sont les plus rares et certains profitent de leur expertise pour se lancer en freelance.En tant que développeur fullstack, il est possible de travailler dans différents types d’entreprises : agence web, Pureplayer, PME, DSI au sein d’un grand groupe etc.D’un point de vue organisationnel, il n’est pas rare qu’une équipe technique soit constituée de développeurs backend, de développeurs frontend et d’un ou plusieurs développeurs fullstack assurant la liaison.Tous types de secteurs d’activités sont également envisageables pour exercer le métier de développeur fullstack : greentech, edtech, medtech… le choix est large.   Quel est le salaire d'un Full Stack développeur ? Le métier est relativement jeune et rémunérateur, aussi, le salaire d’un junior dépendra notamment de ses compétences, de la largeur de son périmètre de responsabilités, du type d’employeur, du secteur de l’entreprise, de sa localisation etc.La fourchette de rémunération d’un développeur fullstack junior est généralement de 30k€ à 45k€ par an en France contre 3M300k FCFA à 4M920k FCFA par an au Cameroun.Un profil senior peut prétendre quant à lui à des salaires allant de 55k à 75K€ par an en France contre 8M712k à 17M544k FCFA au Cameroun.Le salaire varie beaucoup en fonction de la taille l’entreprise, des connaissance acquises et de l’experience. À l’international:  Aux États-Unis, le salaire d’un Développeur Full Stack varie entre 8000$ et 12500$ brut par mois selon l’expérience et les langages maitrisés.   Quels sont les autres intitulés du poste de Développeur Full Stack? Les synonymes de « développeur Fullstack » sont nombreux et apportent parfois des précisions quant à l’employeur, aux compétences demandées, aux technologies utilisées etc. Par ailleurs, différentes orthographes sont apparues au fil du temps, pour francisé ou simplifier l’écriture du métier de « développeur full stack »: Ingénieur full stack Développeur « Full-stack » ou “Full stack” Développeur informatique fullstack Développeur PHP / Vue.js Développeur web fullstack Ingénieur développeur full stack Js Ingénieur d'études et développement fullstack Programmeur informatique full stack Concepteur développeur full stack

Présentation de SkyVue Capture
Présentation de SkyVue Capture

SKYVUE CAPTURE C’EST QUOI ? SkyVue Capture est un outil complémentaire à l’application SkyVue Access. Elle permet de Capturer facilement des données n'importe où sur un site de construction du sol  jusqu’au plafond de manière rapide et simple. Elle permet aux ouvriers présents sur un chantier de prendre les données nécessaires au suivi du projet afin que le propriétaire du chantier puisse les consulter à tout moment et évaluer l’état d’avancement de son bâtiment. SkyVue Capture a été conçu grâce à une technologie de pointe pour garantir simplicité, maniabilité et fiabilité.                                                                                                  SKYVUE CAPTURE COMMENT ÇA MARCHE? L’application Capture est conçue pour être utilisée principalement par les professionnels présents sur un chantier. Elle leur permet de prendre des photos de qualité, des images 360, des vidéos et des mesures. Comment ? Tout d’abord l’ouvrier ou chef de chantier doit télécharger l’application et se connecter. Une fois dans l’application il y retrouvera des projets créés avec leur plan et tags ajoutés en amont par le porteur de projet ou notre équipe sur la plate-forme SkyVue Access. Il n’aura alors qu’à entrer dans un tag et renseigner les données. (Photos, 360, vidéos, mesures : il s’agit ici des mesures du sol, des murs et des différentes ouvertures ) SkyVue Capture est dédié à la collecte des données par des ouvriers sur le terrain et uniquement sur le terrain parce que les données ne peuvent être prise que si la personne chargée de faire les capture se trouve hors de la zone du chantier.                                                                                          LES DOMAINES D’INTERVENTIONS DE SKYVUE ACCESS SkyVue Capture intervient essentiellement dans le domaine du BTP comme présenté  ci-dessus mais peut être utilisé pour les banques et les assurances pour la prise d’images 360 et de mesures.

Présentation de SkyVue Access
Présentation de SkyVue Access

SKYVUE ACCESS QU’EST CE QUE C’EST ? L’application SkyVue Access est une plateforme web créée pour répondre au problème de suivi de projets que rencontre souvent les propriétaires de chantier en Afrique. Elle aide à pallier au manque d’informations et de transparence lié aux projets de construction en ceci qu’elle donne une visibilité sur toutes les étapes du projet en tout temps et en tout lieu./dans un soucis de faciliter le suivi des projets pour les propriétaires de chantiers leur permettant ainsi de voir et savoir comment évolue leurs projets ceci grâce aux données présentent sur la plateforme n’importe où et n’importe quand. SkyVue Access a été conçu grâce aux toutes dernières avancées technologiques pour vous apporter fiabilité et efficacité. COMMENT FONCTIONNE SKYVUE ACCESS ? La plateforme prend principalement en compte 2 types de projets : les projets télécoms et les projets génie civil et 2 types d’utilisateurs : les entreprises et les particuliers. Projets génie civil Ici, particuliers et entreprises ont la possibilité de créer des projets qu’ils pourront suivre en temps et lieu voulu. Dans le cas d’une entreprise elle créée un compte compagnie ou elle enregistrera tous ses projets en tant que tel. Les projets sont classés en section et sous sections qui correspondent à des bâtiments ou des niveaux. On peut insérer des plans par niveau et sur ces plans faire des annotations telles que l’ajout des tags de pièces, des tags de mesure ou des commentaires. Un tag est un point qui donne des informations sur une pièce a l’aide d’images, de vidéos et d’images 360. L’objectif étant de collecter les plus de données sur ladite pièce en faisant une capture a ce tag plusieurs fois dans la même position en vue de monter l’évolution de la pièce ce qui permettra pour un tag d’avoir différentes images à différentes dates donnant à l’utilisateur la possibilité de faire une comparaison avant après de son chantier et avoir des 360 et 3D lui permettant de se balader dans son projet d’une pièce a une autre, d’un étage a un autre et voir le rendu même à distance. Les tags de mesure aident à prendre les mesures des murs, des sols, du plafond, des portes et fenêtres etc… et aussi de faire l’estimation de matériaux car, un des volets de l’application est de pouvoir faire une sorte d’audit sur les matières premières utilisées afin de s’assurer que la quantité de matériaux demandées correspond à la quantité utilisée sur le projet pour se faire on compare le devis des matériaux avec ceux sur le terrain. La plateforme est utile pour le porteur de projet qui n’est pas forcement sur place pour suivre l’avancement des travaux et doit s’en remettre au chef du chantier et ses ouvriers. Ce sont ces derniers qui rentrent les données dans SkyVue Access en passant par l’application SkyVue Capture. Les projets créés sur SkyVue Access sont géolocalisés de telle sorte que, la personne sur le terrain ne pourra prendre des données avec SkyVue Capture que si elle est dans le périmètre du projet ceci pour s’assurer de la véracité et la fiabilité des données.  Projets Telecom En ce qui concerne les télécoms, seules les entreprises peuvent y créer des projets leurs permettant alors d’avoir une vue d’ensemble sur leurs tours. Généralement, il y’a des antennes de différents opérateurs sur les tours ; donc on permet à une entreprise de voir le nombre d’opérateurs présents, la superficie qu’ils occupent, consulter et inspecter ses tours et savoir le poids des antennes par tours, avoir la localisation de ses tours sur une carte (c’est à dire ou est ce qu’elles sont situées dans un pays une province ou une ville donnée). Aussi, la plateforme permet de voir et évaluer l’étendue et le type de dégâts que peut avoir subi une tour et ses antennes au fil du temps. Par exemple la peinture qui se dégrade, des fils coupes de la rouille, des nids d’oiseaux. Lorsqu’on fait une inspection sur une tour télécom on signale tous les problèmes qu’on y retrouve et on les note comme archives. Cependant il ya des problèmes qui pourront perdurer dans le temps. Ainsi, lors des prochaines inspections de la tour on vérifiera que le problème signalé précédemment a été résolu ou alors s’il s’est aggravé. C’est donc ce type d’informations qui sera mis à jour à chaque inspection jusqu’à ce que cela soit clôturé. Si un problème perdure dans le temps, un niveau de sévérité lui est attribué en fonction de la gravité. L’objectif ici étant de permettre à la personne en charge du suivi de savoir où sont situées les tours, quels sont les problèmes qu’il faut gérer et quel est son niveau d’urgence, grâce aux données collectées (image tours 3D) et avoir à la fin un rapport global. LES DOMAINES D’INTERVENTIONS DE SKYVUE ACCESS SkyVue Access intervient comme énoncé plus haut dans les domaines du BTP et des télécommunications mais aussi dans le domaine des inspections à proprement parler pour les bâtiments dont on veut évaluer le niveau et le type de dégradation et déterminer les rénovations à faire à des endroits difficilement accessibles par l’homme sur des bâtiments très hauts. Elle intervient aussi dans le domaine de la banque étant donné que ces derniers octroient des prêts à des personnes ou entreprises pour des projets de construction, et ont besoin de faire un suivi pour s’assurer que l’argent versé est bien utilisé pour le dit projet et non injecté ailleurs. Donc le suivi que leur offre Access leur permet de savoir quand débloquer les fonds pour le déroulement d’un chantier. Notre équipe va sur le terrain collecter les informations que les banquiers les étudient sans avoir à se déplacer et s’assurer que le projet évolue comme prévu. Access intervient aussi dans le domaine des assurances dans le cas d’incendie, dégât des eaux ou autres sinistres. On fait une prise de vue 3D pré et post sinistre de l’endroit assuré ou à assurer ; ce qui sera utilisé pour les enquêtes par des experts en sinistre dans le cadre de leur audit.Retrouvez SkyVue Access sur PlayStore et AppStore.